Gaz de Schiste: Non Merci !

NON !!! AU GAZ DE SCHISTE


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dimanche 23 janvier 2011

http://www.youtube.com/watch?v=styNHBFgBvQ

J'aime cet hommage aux peuples d'Amérique qui n'est pas le véritable nom de ce pays - les peuples habitant là appelaient leur terre l'île de la tortue.

Les blancs, nos ancêtres, les ont massacrés comme aujourd'hui nous massacront la Terre, cette planète unique et merveilleusement belle. Ils ont utilisés le mensonge, la trahison, la torture, et le pire de tout : Dieu !c'est en son nom et en celui de Jésus, symbole de l'Amour, que ces hommes ont volé ce qui ne leur appartenait pas !

Honte à l'homme blanc, honte aux wasichus !

samedi 22 janvier 2011

vendredi 21 janvier 2011


" Ne pouvant produire sans épuiser, détruire et polluer, le modèle dominant contient en fait les germes de sa propre destruction et nécessité d'urgence des alternatives fondées sur la dynamique du Vivant ".


Pierre Rabhi


 

DANGER - Gaz De Schiste. 1/7 (Doc CHOC)
envoyé par kodemon2. - Regardez les vidéos des stars du web.

jeudi 20 janvier 2011

La France, usine à gaz (de schiste)

Total, GDF Suez et Schuepbach Energy, ce sont les trois principales entreprises qui s’apprêtent à explorer le sous-sol d’une zone allant de Montélimar à Montpellier (soit près de 15 000 km2) et qui remonte jusqu’au Larzac. Sous nos pieds, espèrent elles, il y aurait du gaz. Des dizaines de milliards de mètres cube de gaz naturel.


Les Américains l’ont baptisé « shale gas » ; les Canadiens ont opté pour « gaz de schiste ». On assiste à une ruée vers cet or gazeux, qui a révolutionné le marché de l’énergie : en 10 ans, les Etats-Unis sont devenus le premier producteur de gaz -devant la Russie - frôlant l’indépendance énergétique ! Mais ce gaz dit « non conventionnel » (car non contenu dans une poche géologique) a également réussi un autre prodige : celui d’éveiller à l’écologie une partie de l’administration et des opinions américaine et canadienne. La colère monte outre-Atlantique, où les riverains des forages assistent, impuissants, à la destruction des paysages, à la contamination de l’air et surtout de l’eau utilisée pour les forages. Aujourd’hui, cette « nouvelle » énergie fossile, débarque en France, dans le plus grand secret.


C’est un Suisse, Martin Schuepbach, géologue de métier et ancien d’Exxon Mobil notamment, qui a ouvert le ban en 2007, en sollicitant un permis d’explorer le sous-sol auprès du ministère de l’Ecologie, imité par Total l’année suivante. Le ministère a coupé la poire en deux et leur a délivré des permis d’explorer, le 1er mars 2010. Depuis, il ne se passe rien. Officiellement, pas un seul carottage, pas un seul forage. Dans quelques mois, GDF Suez pourrait toutefois ouvrir le bal des « forages expérimentaux » sur la commune de Villeneuve de Berg, en Ardèche. Le maire a déjà reçu la visite de plusieurs salariés de GDF Suez. « Les données disponibles (dans ce secteur) sont excellentes », confirmait Martin Schuepbach en mai 2010 dans le Bulletin de l’industrie pétrolière. « Le potentiel gazier y est de plusieurs dizaines de milliards de mètres cubes », indiquait l’ingénieur suisse. Mais pour aller chercher le gaz naturel dans les entrailles de la terre, il faut un savoir-faire que les entreprises frenchy n’avaient pas encore acquis. L’alliance avec des entreprises américaines s’est donc avérée incontournable. Début 2010, Total a donc acquis 25% de Chesapeake Energy’s, le leader mondial de l’exploration - pour 2,25 milliards de dollars - afin d’opérer sur le permis dit « de Montélimar ». GDF-Suez a préféré un mariage à trois pour explorer le permis dit « de Nant » (Larzac), s’alliant avec Schuepbach Energy et Dale, champion mondial dans « le forage en milieu urbain ».


La technique pour ramener le gaz à la surface est nouvelle, délicate et surtout, désastreuse sur le plan environnemental. La « fracturation hydraulique horizontale », c’est son nom, consiste à provoquer des failles à l’aide d’un liquide envoyé à très forte pression, pour libérer le gaz pris dans la roche compacte, à environ 2000 mètres de profondeur. Trois «ingrédients » sont nécessaires pour créer ces mini-séismes : des quantités phénoménales d’eau (entre 10 000 et 15 000 m3, soit 10 à 15 millions de litres), additionnées de produits chimiques - pour attaquer la roche - et de micro-billes de la taille de grains de sable – pour maintenir ouvertes les failles créées par le liquide. Une partie de ce cocktail « eau-produits chimiques » est aspirée à la surface, en même temps que le gaz.


L’eau est le nœud gordien du gaz de schiste. Aux Etats-Unis, elle est acheminée par centaines de camions-citernes, engendrant trafic sur les routes et pollution de l’air. Extraite du puits, elle doit être à nouveau transportée pour être stockée dans des réservoirs gigantesques. Certaines stations d’épurations municipales qui ont accepté de les retraiter dans leurs installations classiques ont eu de mauvaises surprises. Car cette eau est contaminée par les composés que renferme le sous-sol (métaux lourds, sel, éléments radioactifs, hydrocarbures, etc…), auxquels s’ajoutent les additifs utilisés pour faciliter la fracturation (plus de 500 ont déjà été recensés). Aux Etats-Unis et au Canada, la composition de ces additifs est protégée par le secret industriel ! En 2005, Dick Cheney, alors vice-président de George W. Bush et ex-PDG du géant de l’énergie Halliburton, leader mondial du gaz de schiste, réussit à faire voter une loi qui empêche l’EPA, l’Agence fédérale pour l’environnement, d’analyser les eaux utilisées pour la « fracturation ». Sans analyse, pas de problème… Début septembre 2010, devant la colère grandissante des habitants voisins des puits, l’EPA a sommé neuf entreprises de révéler la composition des additifs. Même si Halliburton a peu ou prou refusé de s’exécuter, il était temps que les autorités américaines réagissent. Car les images de riverains mettant le feu, en quelques secondes, à l’eau du robinet avec un briquet - tant celle-ci est chargée en gaz infiltré dans des aquifères endommagés - se multipliaient sur Internet. Un éditorialiste québécois fait un parallèle inquiétant : « Sur le plan environnemental, le gaz de schiste est au gaz naturel ce que les sables bitumeux sont au pétrole. »


Evidemment, en France, la question de l’impact sur l’environnement ne pouvait être ignorée. Mais GDF-Suez « ne désire pas s’exprimer pour l’instant » (dans l’attente d’un accord juridique définitif avec Schuepbach Energy). Total affirme, lui, se pencher sur des «programmes de recherche pour améliorer le process ». Le ministère de l’Ecologie, qui n’a convoqué aucune réunion sur la question de l’eau, assure avec fermeté qu’ « on ne va pas travailler à l’américaine ». Quid alors de l’utilisation massive d’eau, ainsi que de sa pollution ? « L’eau sera prélevée dans des zones aquifères profondes et non potables, puis traitées avant d’être rejetées dans le milieu. Et les ingénieurs des compagnies pétrolières inventeront des techniques moins gourmandes en eau. » Dans un courrier à l’ex-ministre, Jean-Louis Borloo, la direction « Exploration Production des hydrocarbures » estime par ailleurs qu’il faudra adopter « une attitude vigilante mais proportionnée dans la mise en œuvre de l’extraction ». Traduction d’un responsable du ministère du l’Ecologie : « Il ne faudra pas casser le projet industriel en imposant trop de normes environnementales. » Car, comme le note Charles Lamiraux, le responsable « exploration et production des hydrocarbures pour la France » au ministère de l’Ecologie, le pays est à un « carrefour historique de son histoire pétrolière ». Cette perspective quasi miraculeuse d’acquérir l’indépendance énergétique, tant pour le gaz que pour le pétrole sonne comme un appel quasi irrésistible. « La recherche d’hydrocarbures en France, qui est une ressource stratégique, reste une priorité », confirme le géologue.


Une « révolution silencieuse » - selon l’expression de l’ex-patron de BP - est donc en marche en France, comme en Allemagne, en Chine, en Amérique latine ou encore en Russie. Le ministère de l’Ecologie et les entreprises en lice insistent : « Nous en sommes à la phase d’exploration. Personne ne sait encore quelles quantités de gaz renferme le sous-sol français et si cela sera rentable. » Pierre Batellier, porte-parole d’un groupement de citoyens canadiens opposés à l’exploitation du gaz de schiste, prévient les Français : « Même l’exploration est loin d’être neutre au plan environnemental. » José Bové regrette, lui, l’absence de débat : « Comme pour le nucléaire, l’Etat a décidé seul, sans consulter les populations sur leurs besoins en énergie. Tant pis pour eux », conclut l’eurodéputé, bien décidé, à l’heure du facteur 4 (3) et des énergies renouvelables, à croiser le fer contre cette énergie fossile et contre ceux qui veulent la libérer.




Texte réalisé à partir de l'article de Marine Jobert sur Terraeco
Gaz de schiste : non merci !



Sans aucune information, sans aucune consultation, le gouvernement français a offert, à des sociétés nationales et étrangères le droit d’explorer le sous-sol français à la recherche de gaz et de pétrole de schiste.


La technique pour ramener le gaz à la surface est nouvelle, délicate et surtout, désastreuse sur le plan environnemental. La «fracturation hydraulique horizontale», consiste à provoquer des failles à l’aide d’un liquide envoyé à très forte pression, pour libérer le gaz et le pétrole pris dans la roche compacte, à environ 2000 mètres de profondeur. Trois «ingrédients» sont nécessaires pour créer ces mini séismes : des quantités phénoménales d’eau (entre 15 000 et 20 000 m3), des produits chimiques (plus de 500) pour attaquer la roche et des micro-billes pour maintenir ouvertes les failles.

Aux Etats-Unis, le bilan de l’extraction de ces énergies fossiles est catastrophique : pollution massive des nappes phréatiques et de l’air, destruction des paysages et de milieux naturels, etc. Leur exploitation, en France, conduirait inéluctablement aux mêmes dégâts ainsi qu’à des émissions accrues de gaz à effet de serre, alors même que notre pays s’est engagé à les diviser par quatre.


Les autorisations de prospection sur plus de 10% du territoire ont été accordées sans débat sur les besoins énergétiques à moyen et long terme, sans discussion sur la nécessité de lutter contre le gaspillage, rechercher une meilleure efficacité énergétique et les alternatives renouvelables.


Pour toutes ces raisons, nous exigeons un débat public avec la société civile, les élus locaux et nationaux, pour dresser un inventaire complet des conséquences environnementales, sanitaires, économiques et sociales de cette «nouvelle folie industrielle».


C’est pourquoi nous demandons un gel immédiat des prospections et la suspension des permis de recherche de gaz et pétrole de schiste sur l’ensemble du territoire français.




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Femme Etoile : aux arbres citoyens ! RESISTER !
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samedi 15 janvier 2011

mardi 4 janvier 2011

RESISTER...

"RESISTER" c'est le mot gravé par une femme emprisonnée par le Pouvoir dans la tour de Constance à Aigues Mortes : Pouvoir, Intolérance, Bêtise...cette femme faisait partie d'une quarantaine d'autres femmes prisonnières, dans des conditions terribles, pour avoir refusé de renoncer à leur foi, à leur croyance, à leur liberté de penser !
Peut être l'ont-elles gravé toutes ensembles !!!

Aigues-Mortes (Gard) Tour de Constance
Prison pendant les guerres de religion
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Aujourd'hui, je découvre consternée cette nouveauté technologique qui consiste à massacrer le sous sol pour en retirer sa "richesse" au profit du gaspillage et de l'inconséquence. Je le dis, je le répète, nous n'avons pas besoin de tant "d'inutile" autour de nous, commençons par économiser et ensuite exploitons les solutions respectueuse de l'homme et de l'environnement qui existent déjà mais sont laissées aux oubliettes pour une question de fric et de confort.

Je refuse de voir ce pays, cette terre, broyée, dénaturée, polluée...je refuse de vivre une vie de rat, enfermée dans un confort fait de béton, de plastique, de superficialité...j'ai besoin, comme un enfant a besoin de sa mère, de la Terre, de la Nature, de son contact qui me transporte au plus haut de moi-même et me donne le courage de vivre et d'aimer.
Je le refuse pour toutes ces vies qui ont besoin d'une terre propre, je le refuse pour les générations à venir, je le refuse pour tous ceux qui ont encore dans le coeur l'amour de leur Terre mère !

Heureusement, il y a des êtres qui veillent et sont au fait de toutes ces "affaires" aussi vite qu'elles apparaissent, merci à eux.
Merci à Monsieur Bové pour en avoir parlé au journal télévisé régional pas plus tard qu'hier et merci  à lui de surveiller l'avancée de ce dossier.

Donc, la première chose à faire est  de savoir de quoi il retourne...merci Youtube...


http://www.youtube.com/watch?v=TvRxS9Thf0k

A suivre de très près

Femme Etoile
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samedi 1 janvier 2011


Je souhaite à tous mes lecteurs une bonne année 2011.

Bien qu'il n'y ai pas de quoi être optimiste pour l'avenir des nouvelles générations, j'espère que cette année verra une montée de l'influence des gens respectueux et amoureux de leur terre, qui sauront faire entendre leur voix et faire triompher la raison et le respect de toute vie fut elle minérale !

Notre terre est belle, notre besoin de consommation peut être revu à la baisse, avons nous réellement besoin de tout ce fatras dont on nous gave ! surplus inutile qui précipite la fin de la beauté de la nature , de la vie de certains peuples minoritaires et accélère la folie de consommation qui s'empare des humains depuis quelques décennies - pour exemple le tourisme qui fait des ravages sur la nature, sur l'humain qui ne sait même plus qui il est, incapable de savoir où est sa place et qui court partout tel les troupeaux de lemming qui de temps en temps se précipitent dans l'océan - allons-nous faire pareil ?

Je vous invite donc à faire en sorte  que cette année 2011 soit une année de réflexion et d'actions positives en faveur du  respect de la VIE !

Femme Etoile
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