Gaz de Schiste: Non Merci !

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vendredi 30 avril 2010

La légende de l'âne et du puits



Un jour , l'âne d'un fermier est tombé dans un puits. L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures et le fermier se demandait quoi faire.
Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et le puits devait disparaître. De toute façon, ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne.
Il a invité tous ses voisins à venir l'aider. Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à boucher le puits.
Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement. Puis, à la stupéfaction de chacun, il s'est tu.
Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné
de ce qu'il a vu.
Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui l'âne faisait quelque chose de stupéfiant : il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.
Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puits et se mit à trotter !

La vie va essayer de vous engloutir de toutes sortes d'ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.
Chacun de nos ennuis est une pierre qui nous permet de progresser.
Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais. Ne jamais abandonner ! secouez-vous et foncez !

Rappelez-vous ces cinq règles simples pour être heureux :

1. Libérez votre coeur de la haine.
2. Libérez votre esprit des inquiétudes.
3. Vivez simplement.
4. Donnez plus.
5. Attendez moins.

Auteur inconnu
 

Lecture...



La flèche brisée - Elliott Arnold


Extraits :


"Je m'efforce d'épargner au peuple chiricahua ce que les Américains appellent une "réserve" et qui n'est en réalité que la transformation de la terre en une cage. Une réserve serait pour nous tous pire que la mort. Si le peuple chiricahua était confiné dans une réserve, il disparaîtrait en tant que peuple. Ce qui bat dans nos poitrines ne s'accommodera jamais de la prison. Nous sommes ce que nous sommes parce que nous sommes libres et parce que nous l'avons toujours été. Nous sommes comme le vent!"


"Il y avait pour nous deux solutions : mourir sur les champs de bataille ou mourir de faim dans les réserves. Il y a déjà longtemps, j'ai choisi, pour ma tribu et pour moi-même, la première de ces deux solutions."

"Un homme n'est pas nécessairement qualifié pour s'occuper des Indiens parce qu'il croit sincèrement au Christ, ou du moins à sa propre interprétation du Christ et de son enseignement. Il faut d'abord connaître les Indiens. Or, quelle que soit, dans d'autres domaines, la science des missionnaires, que savent ces gens-là des Chiricahuas et des Mimbres par exemple?"

lundi 26 avril 2010



Le temps est en marche


Les mineurs violent
Le coeur de la terre
De leur pelle violente.
Volant, embouteillant son sang noir
Pour l'intérêt d'un commerce cupide.

Sur son trône métallique de destruction,
Il travaille avec la volonté,
D'entasser les minéraux des montagnes
A l'aide d'outils géants et de foreuses d'acier.

Dans son avidité de pouvoir,
Il détruit l'ancienne volonté de la nature.
Pour l'intérêt de l'obscène dollar,
Il salit le nid qu'il bâtit.
Il sait bien que la violence
Destructive de cette espèce
Sera écrite durement
Sur le sable du temps.

Mais le temps est en marche
Et le temps est proche,
Car les amis du Temps de Rêve s'attroupent
Pour défendre leur terre éternelle.
Viens, homme noir paisible
Vois ta force ;
Il est temps de prendre position.
Fais que le mineur violent sente
Ton violent
Amour de la terre.

Oodgeroo Noonuccal (Kath Walker)
Aborigène - Australie

vendredi 16 avril 2010


Tiré du livre :"traité d'auto-guérison" ( Henryk Lachmansski)


Mon enfant, écoute ton père car il te parle avec tous les fruits de ses enrichissantes expériences passées, à l'école de la Vie. En suivant ses conseils, tu éviteras bien des ennuis et tu pourras vivre d'autres expériences, encore plus enrichissantes. Ecoute ton père mon enfant, car il te parle pour ton bien. Mais n'oublie pas non plus de relire la Bible car elle nourrira également ton idéal, ton esprit.

C'est dans la Nature, dans le travail de la terre comme dans les promenades en forêt, que tu pourras trouver le calme et ton équilibre. Ne dénigre pas la Nature : elle à tant de choses à t'apprendre. C'est là que tu pourras crier ta détresse lors de tes peines et de tes chagrins. C'est là que tu pourras te ressourcer, te vivifier et te fortifier pour recouvrer la santé que tu auras perdue momentanément. Cela te permettra de comprendre que la Nature est Vie et Vérité, et de fuir la fausse lumière de la ville qui n'est qu'illusion, tromperie et violence.

Mon enfant, tant que tu auras un acre de terrain, un coin de jardin, tu pourras faire vivre les tiens. Modestement certes, mais tu auras déjà de quoi manger.
Protège donc la nature et ce qui y vit : ne détruis rien, car un jour, tu comprendras que toute chose a son utilité. Essaie donc de construire ce que tu pourras : ce sera déjà bien !

Mon enfant, lève-toi de bonne heure tous les jours et accomplie ton travail quel qu'il soit, avec joie et volonté. Tout travail est noble et en plus, il t'enrichira par de nouvelles connaissances. Ainsi tu acquerras d'autres possibilités qui te serviront un jour ou l'autre.

Mon enfant, respecte ton père et ses cheveux blancs. Ne cède pas à la facilité de la critique car tu es encore ignorant de bien des choses. Aide-le dans ses vieux jours, lorsque sa démarche sera chancelante. Essuie sa barbe remplie de nourriture prise de sa main tremblante. Protège exactement de la même manière ta mère, car elle t'a donné le jour. Tes parents te manqueront lorsqu'ils auront quitté cette terre, mais ce sera trop tard. Alors, aime-les lors de leurs séjour ici bas !

Mon enfant, apprends le respect de chaque chose aussi petite qu'elle soit, si toi aussi tu veux être respecté. Casser ou détruire, c'est à la portée de n'importe qui. Par contre, tu n'es pas n'importe qui et il te faudra apprendre à construire, à édifier, à créer... Ainsi tout ce que tu sèmeras, tu le récolteras. Le bien ainsi semé te reviendra sous de multiples formes les plus bénéfiques possibles. Ainsi, en respectant les lois de la Nature, celle-ci te le redonnera au centuple, mais au moment voulu. Ne sois donc pas pressé !

Mon enfant ne cède pas à la facilité, à la futilité, à la vanité, car toutes ces choses disparaîtront aussi vite que les nuages passent dans le ciel ! Accroche-toi à l'essentiel ; à ce qui est vrai, profond, sincère et souviens-toi que c'est dans l'effort pour vaincre, pour se dépasser, que tu trouveras la vraie récompense.

Construis sur du Roc !

Observe ce qui arrive à ceux qui cèdent à toutes sortes de « mirages », de drogues diverses : alcool, cigarettes, drogues, alimentation dégénérée, vie de facilité en ville ou ailleurs, argent, pouvoir etc. Informe-toi afin de te préserver de ces illusions qui, un jour ou l'autre te donneront de la peine, la perte de ton bien le plus précieux : ta santé !

Prends ton temps pour arriver avant l'heure... Tu seras ainsi calme et détendu dans ton travail, pour ton repas en famille ou lors de tes voyages. C'est la politesse des rois que d'arriver à l'heure. Cède ta place à la vieille dame : aide l'aveugle à traverser la rue, car un jour, tu pourrais être comme lui.

Ton « bonjour » joyeux redonnera le sourire à tes proches, à ceux que tu rencontreras.
Fais ce que tu penses être bon et n'attends rien en retour... Laisse courir les autres : toi, prends le temps de vivre, d'aimer, d'apprendre, d'écouter... car il y a un temps pour tout !

Calme ton impétuosité en actes et en paroles. Fuis ceux qui critiquent ou qui médisent. Apprends la patience et la tolérance vis-à-vis des autres... Ecoute les sages de ton village (s'il en reste). Laisse parler tes parents. Puis, « la nuit portant conseil », tu ne prendras ta décision que le lendemain, après mûre réflexion !

La santé est ton bien le plus précieux alors ne la gaspille pas « trop » dans ta jeunesse. Sache aussi que la santé se mérite par tes actes alimentaires et tes pensées. Aussi apprends à connaître puis à entretenir tes «différents corps » pour en accroître leur efficacité. Ainsi, tu ne passeras pas ta vie à chercher un remède illusoire. Observe autour de toi ce qui arrive à tes amis, à tes collègues de travail sur ce plan complexe de la santé. Ainsi tu comprendras !

Enfin, mon enfant, ne garde pas tes connaissances pour toi. Diffuse-les autour de toi, afin que tu sois, toi aussi, un porteur de lumière.

- Source: http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/sante/la-meditation-pour-guerir-la-science-s-en-mele_859505.html


je t'appelle par le son de la gourde

je t'appelle par ma fumée

j'appelle tout ce qui est toi en moi


tu réponds de toutes les directions


esprit saint omniprésent

âme éternelle

prends-moi en pitié
donne-moi

la lumière

 Prière cheyenne / Lance Henson

jeudi 8 avril 2010

Je suis vivant !



Le chant de jubilation de Tsoai-Talee




Je suis une plume dans le ciel lumineux
Je suis le cheval bleu qui galope dans la plaine
Je suis le poisson qui virevolte et miroite dans l'eau
Je suis l'ombre qui suit l'enfant
Je suis la luminosité de l'après-midi, l'éclat des prairies
Je suis l'aigle qui joue avec le vent
Je suis un bouquet de perles étincelantes
Je suis la plus lointaine étoile
Je suis le grondement de la pluie
Je suis le scintillement sur la neige croûtée
Je suis la large traînée de la lune sur le lac
Je suis une flamme de quatre couleurs
Je suis un cerf qui s'éloigne au crépuscule
Je suis un champ de sumac et la pomme blanche
Je suis un vol d'oies dans le ciel d'hiver
Je suis la faim d'un jeune loup
Je suis totalement le rêve de ces choses.

Voyez-vous, je suis vivant, je suis vivant
Je suis en bons termes avec la terre
Je suis en bons termes avec les dieux
Je suis en bons termes avec tout ce qui est beau
Je suis en bons termes avec la fille de Tsen-Tainte
Voyez-vous, je suis vivant, je suis vivant. 

N. Scott Momaday

Posted by Picasa

jeudi 1 avril 2010

Le trafic d'êtres humains, un commerce en pleine expansion

L'homme est-il réellement un être "humain" ???????

https://secure.avaaz.org/fr/fight_rape_trade/?vl


13 mars 2009 International

Genève — Le trafic des êtres humains est une activité criminelle connaissant «l'une des croissances les plus rapides» dans le monde, selon un rapport présenté hier par le rapporteur spécial de l'ONU sur le sujet devant le Conseil des droits de l'homme.

Dans son rapport, le rapporteur spécial sur le trafic des êtres humains, Mme Joy Ngozi Ezeilo, estime à 2,5 millions le nombre de personnes victimes de ce «commerce global». Le trafic affecte «quasiment tous les pays du globe, qu'ils soient pays source, de transit ou de destination» des personnes qui en sont victimes, relève l'étude.

La juriste nigériane, citant des estimations du Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef), estime à 1,2 million le nombre d'enfants faisant chaque année l'objet de trafic d'un pays à un autre ou à l'intérieur d'un même pays.

«Du point de vue économique, le trafic des êtres humains est devenu un commerce global, rapportant d'énormes profits aux trafiquants et au crime organisé», relève Mme Ngozi Ezeilo, selon laquelle le phénomène est «régi par les mêmes forces régissant la globalisation des marchés». «Il n'y a manque, ni en matière de demande, ni en matière d'offre», explique-t-elle.

La majorité des victimes du trafic international sont des femmes et des enfants de bas niveau socio-économique, détaille le rapport. L'essentiel du trafic se fait des pays en développement vers les pays plus riches, ajoute-t-il.

Selon le rapporteur spécial, si les études portent souvent sur le trafic à des fins d'exploitations sexuelles, «d'autres aspects importants portent sur le travail forcé ou les services, l'esclavage ou des pratiques similaires, ou le prélèvement d'organes». Mme Ngozi Ezeilo déplore «l'absence de statistiques systématiques et fiables» qui permettraient de mieux cerner «un phénomène complexe rendu encore plus insidieux par sa nature clandestine».
 
LeDevoir.com - Libre de penser -

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